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Les actualités Cloud de 2024 :

JAVA : les développeurs toujours aussi demandés

three women sitting at the table

D’après le rapport 2024 Java Productivity Report, la demande de développeurs Java reste élevée. En effet, cette analyse montre que 60 % des entreprises interrogées ont besoin de personnel spécialisé dans ce langage IT et prévoient de nombreux recrutements. En revanche, les budgets alloués aux outils pourraient ne pas suivre cette volonté, puisque peu de ces sociétés envisagent de les augmenter.

Ce rapport réalisé sur les enquêtes réalisées de novembre 2023 à janvier 2024, regroupe les réponses de 440 utilisateurs Java (développeurs ou architectes Java) répartis dans le monde entier. Si 11 % des utilisateurs ont déclaré être passés à la dernière version de l’outil, à savoir Java 21, 24 % des personnes sondées avouent encore utiliser la version 8 tandis que 18 % travaillent toujours avec la version 11.

D’après Perforce Soft, au fur et à mesure qu’Oracle (fournisseur de Java) mettra fin au support de versions antérieures à Java 21, la demande de développeur en interne ou en support tiers augmentera au sein des entreprises, comme la firme le souligne dans sa déclaration : « Étant donné qu’Oracle a mis fin au support de niveau Premier de Java 8 en mars 2022, le pourcentage d’utilisateurs de Java 8 laisse supposer que les entreprises obtiennent le support de fournisseurs tiers comme Amazon, Azul et OpenLogic ».

IBM : nouveau plan de départ volontaire en cours

logo ibmLe mois dernier, IBM annonçait la mise en place d’un PSE (plan de sauvegarde de l’emploi) en France qui, selon les représentants syndicaux CFDT et Unsa, conduirait à la disparition de 5% des effectifs, soit 206 emplois dans l’Hexagone.

« Ce plan de départs volontaires s’articule autour de deux propositions principales : des mesures de fin de carrières et des départs volontaires, les premières étant prioritaires par rapport aux secondes », indiquait le secrétaire du CSE et responsable de la communication de la CFDT d’IBM France, Marcel Yemsi.
Avec ces licenciements la firme reste sur la lignée de son annonce et vise un objectif de « 3 milliards de dollars d’économies annuelles d’ici la fin de 2024 ».
Dans ce but, cette fois, il s’agit de réduire de 30 % les effectifs en Europe de l’Est. Les secteurs concernés par ces mesures de licenciement : le site de Bratislava en Slovaquie, le centre de soutien EO&S/Q2C, en Hongrie et la partie fonction financière sur le sol bulgare.
Ces économies sont motivées par la firme américaine pour réaliser de nouveaux investissements comme elle l’a déclaré à la suite de ses annonces : « Les économies réalisées serviront à libérer de l’argent pour investir dans les compétences techniques et industrielles. »
Rappelons tout de même que IBM a réalisé une croissance de 4 % de son CA au 4e trimestre 2023 (soit 17.4 milliards de dollars) et que son bénéfice d’exploitation s’élève à 3,75 milliards de dollars.

Les métiers de l’IT les plus recherchés par les entreprises en 2024

IzOrder, la solution de prise de commande dédiée, permet aux commerciaux d'optimiser leur temps de vente grâce à un CRM mobile intégré, transformant chaque interaction en une opportunité de vente réussie.

La Grande école du numérique vient de faire paraître son classement des régions françaises qui recrutent le plus dans le domaine de l’informatique.
Pour cette étude, l’organisme a choisi de se concentrer sur les métiers :

  • de la communication digitale marketing et e-commerce ;
  • de la data/IA/IoT ;
  • du développement/test/DevOps ;
  • de la gestion et pilotage ;
  • du graphisme/design/interface ;
  • et les professions infras (sécurité IT, cloud et réseaux).

L’étude démontre que les régions qui recrutent le plus en ce premier semestre 2024 sont : Grand Est, Normandie, Centre Val de Loire et Bourgogne-Franche-Comté, notamment pour le domaine sécurité, cloud et réseaux. Les offres d’emploi dans ces régions représentent la moitié des professions présentes dans le top10.
La catégorie gestion et pilotage place 3 métiers dans le top 10 dont 1 en première position et est plus représenté en Ile-de-France. A contrario, tout ce qui concerne la catégorie développement/test/DevOps est en bas de classement.

« La plupart des grandes entreprises ont désormais atteint un certain degré de maturité, ce qui signifie que la demande initiale en spécialistes a été satisfaite. Aujourd’hui, inflation oblige, elles sont davantage en période de rationalisation de leurs ressources », analysait la Grande école du numérique à la suite de la publication de son top 10 des métiers numériques les plus porteurs de 2023.

Les données de l’Assurance maladie hébergées pour 3 ans par Microsoft

Data center

La nouvelle est tombée ce 31 janvier. La Cnil (organisme chargé de veiller à la protection des données personnelles sur le territoire français) vient d’accorder GIP PDS (plateforme de traitement des données de santé) de créer un entrepôt de stogkage des données médicales. Ainsi, « Les données de l’entrepôt seront conservées dans les centres de données de Microsoft situés en France » précise la décision.

Le but de cette sauvegarde est d’aider la recherche pharmaco-épidémiologique en stockant ces informations de manière automatisée et d’analyser les effets des traitements des citoyens français à long terme.

En revanche, malgré cet accord conclut pour 3 ans, la Cnil déplore « qu’aucun prestataire susceptible de répondre actuellement aux besoins exprimés par le GIP PDS ne protège les données contre l’application de lois extraterritoriales de pays tiers […]» ne se situe en France ou en Europe. Le régulateur français regrette également «que la stratégie mise en place pour favoriser l’accès des chercheurs aux données de santé n’ait pas fourni l’occasion de stimuler une offre européenne à même de répondre à ce besoin ». En effet le fait que ces données soient gérées par un hébergeur américain pose le problème de la fuite de données, bien que là encore la Cnil se veuille rassurante en précisant que «ces transferts de données vers les États-Unis sont encadrés par les clauses contractuelles types de la Commission européenne.»

Les ventes de tablettes numériques en chute en 2023

interface-tablette

Sur l’année 2023, les ventes de tablettes numériques ont chuté de 20,5 %, atteignant 17.4 % sur le seul quatrième trimestre. Une situation qui n’était pas arrivée depuis 2016.

Le top trois des principaux fournisseurs du marché mondial, Apple, Samsung et Lenovo, sont en recul respectivement de 19.8 %, 13.9 % et 19.7 % sur leurs ventes 2023 en comparaison à l’année précédente, tout en se partageant plus de 65 % de part de marché. Amazon quant à lui se retrouve à la cinquième place avec près de 66 % de recul par rapport à 2022 et seulement 4,2 % de part de marché, derrière Huawei, qui lui gagne 1.6 point de part de marché, atteignant les 6,8 %.

Cette chute des ventes de tablette s’explique d’après Anuroopa Nataraj de chez IDC par : “l’absence d’améliorations économiques significatives et alors que les consommateurs consacrent leur budget à d’autres domaines que l’électronique grand public, les tablettes ne figurent pas en bonne place sur la liste de leurs priorités. Et, dans les entreprises, les retards dans les projets et le gel des dépenses ont également conduit au report d’achat au-delà de l’année 2023 »

Toutefois, un rebond pourrait avoir lieu en 2024 si le contexte économique mondial s’y prête.

Fnac Darty : e-commerce, convergence data et transformation métier en 2024

gestion e-commerce image

Au sein de Fnac Darty, Jean Laborde, directeur digital, orchestre le développement du e-commerce au sein de l’organisation fusionnée de la transformation digitale et de la direction des systèmes d’information (DSI). L’objectif premier est de stimuler les revenus du groupe, en mettant notamment l’accent sur le e-commerce, y compris les flux vers les magasins. Cette initiative, en réponse aux objectifs stratégiques et ambitieux du canal e-commerce, vise à consolider la place du groupe dans ce secteur en pleine mutation.

La fusion organisationnelle entre digital et DSI, supervisée par Olivier Theullé, chief e-commerce et digital officer, couvre l’ensemble du spectre digital et informatique, y compris l’infrastructure, la chaîne d’approvisionnement informatique et les fonctions support. Jean Laborde, quant à lui, dirige la verticale du e-commerce au sein de cette nouvelle structure, concentrant ses efforts sur des aspects tels que l’acquisition du trafic, le SEO et la gestion de la data.

La convergence des systèmes d’information de Fnac et Darty est en cours, avec une intégration réussie des back offices des marketplaces et la fusion des systèmes de gestion de l’information produit (PIM). Cette dernière réalisation, opérationnelle depuis avril 2023, est particulièrement significative compte tenu de la complexité du catalogue qui compte 20 millions de références. Des algorithmes internes ont été développés au cours des trois dernières années pour gérer la qualité des données, ce qui a démontré la volonté de Fnac Darty de résoudre des problématiques spécifiques du marché.

Parallèlement, le groupe a migré l’ensemble de son infrastructure data vers le cloud, précisément sur la plateforme Google Cloud Platform (GCP). La migration, achevée mi-2022, a permis d’unifier les agrégats de données, les datawarehouses et les datalakes, consolidant ainsi une plateforme de données commune à Fnac et Darty. L’utilisation intensive de Big Query a été soulignée comme un choix judicieux pour gérer la masse de données du groupe.

En 2024, l’organisation IT et digitale de Fnac Darty se tourne vers une approche de transformation organisationnelle axée sur les domaines métiers. L’objectif est de rapprocher les métiers de la donnée, maximisant ainsi la valeur de celle-ci. Différents niveaux de maturité data nécessiteront des approches variées, allant de structures intégrées pour des équipes, telles que le marketing clients, déjà orientées vers la donnée, à une centralisation de la gestion des domaines data sous l’équipe IT pour des métiers comme le SAV ou les opérations. La gouvernance transverse sera essentielle pour garantir la cohérence et le partage des données entre les métiers, et la maîtrise de l’évolution des données au sein de la plateforme commune sera au cœur des enjeux.

Veeam explore la sauvegarde sur Proxmox en réponse aux changements de Broadcom

Veeam, un acteur majeur dans le domaine de la sauvegarde des environnements virtuels, réagit aux récentes évolutions stratégiques de Broadcom concernant VMware en explorant des alternatives, en particulier le système de virtualisation open source Proxmox. Face aux inquiétudes générées par les annonces de Broadcom, qui a récemment acquis VMware, Veeam cherche à anticiper les possibles migrations de clients vers des solutions alternatives.

Anton Gostev, le chef produit de Veeam, a confirmé lors d’un forum interne que des recherches et des prototypes étaient en cours pour évaluer la faisabilité d’une solution de sauvegarde compatible avec Proxmox. Un utilisateur d’une PME avait soulevé la question de la prise en charge d’autres solutions que VMware, notamment Proxmox, dans le cadre de la sauvegarde des environnements virtuels. Gostev a déclaré que Veeam explorait activement les possibilités, demandant des détails sur la taille de l’infrastructure Proxmox, le type de stockage utilisé, et toute autre information pertinente pour l’interaction, la sauvegarde et la restauration des machines virtuelles Proxmox.

Par ailleurs, Fabian Kessler, un autre responsable produit de Veeam, a confirmé que Proxmox était un sujet faisant l’objet de recherches préliminaires. Il a également annoncé le support d’Oracle Linux KVM dans la prochaine version de l’offre Veeam Backup. Ces initiatives de recherche et de développement témoignent de la volonté de Veeam de s’adapter aux évolutions du marché de la virtualisation, marquées notamment par les décisions de Broadcom d’arrêter les licences perpétuelles des produits VMware.

L’environnement de la virtualisation est en pleine mutation, avec des clients VMware envisageant des alternatives en raison des récentes décisions de Broadcom. Le mouvement pourrait être limité, étant donné les coûts et la complexité associés à l’abandon de VMware, mais les ajustements stratégiques de Veeam indiquent une préparation proactive aux évolutions du paysage technologique.

Les actualités Cloud de 2023 :

Les salaires des métiers de l’informatique toujours en hausse en 2024

recherche emploi imageHumanskills vient de dévoiler son étude, en île de France, sur les rémunérations appliquées dans le secteur technologique. On peut y lire que la hausse des salaires observée depuis la pandémie dans les métiers de l’informatique est toujours d’actualité. Ils devraient d’ailleurs encore progresser en moyenne de 7 % en 2024.
Cette tendance s’explique par la recrudescence dans le domaine de la data d’un besoin d’ingénieurs et d’analyste, d’autant plus que leurs salaires sont supérieurs aux autres métiers. En moyenne, un analyste débutant touche 42 000 euros par an contre 85 000 euros pour un confirmé.

Si l’on compare à l’année 2022, où les salaires dans ces professions avaient augmenté de 14,6 %, la progression est en recul. Les raisons principales en sont :
– Le gel des embauches ;
– L’inflation post-covid ;
– La diminution des levées de fonds en IT ;
– Les licenciements.

Notons tout de même que les métiers de l’informatique les plus recherchés et donc les plus rémunérateurs en 2024 englobent toutes les professions intervenant dans les domaines de la cybersécurité, du cloud ou encore du développement biométrique, sans oublier tout ce qui touche au développement de l’intelligence artificielle.

Changement de présidence au conseil d’administration d’ATOS

logo atos

 

En poste depuis 2019, Bertrand Meunier a quitté ses fonctions de président du conseil d’administration ce week-end, répondant ainsi à la pression trop forte et à la méfiance interne à son égard.
Son successeur n’est autre que Jean-Pierre Mustier, membre fraîchement arrivé six mois auparavant.

Qu’est-ce qui a conduit à cette démission ?
Tout d’abord, Bertrand Meunier faisait face à la contestation de ses décisions aussi bien par certains membres du conseil que par les petits actionnaires.
L’objet de cette opposition : la vente de la partie Technologique d’ATOS, la filiale Techs Foundations à Daniel Kretinsky, un homme d’affaires tchèque.
Des actions en justice ont également été lancées sous le motif de “corruption passive et diffusion d’informations fausses ou trompeuses” à la suite d’une plainte déposée par Alix AM et Ciam, deux actionnaires ATOS. L’enquête est à ce jour en cours d’instruction.

Quel avenir pour ATOS ?

L’action ayant chuté de plus de 48 points à l’annonce de ces pourparlers en août, le projet de cession de la filiale est reporté. Les négociations sont toujours sur la table mais le groupe a annoncé ne pas vouloir conclure avant le premier trimestre 2024. La date de cession initiale était programmée pour la fin 2023.

Automatisation et Optimisation des Coûts : Comment les DSI Peuvent Équilibrer l’Innovation et la Gestion Budgétaire en Technologie de l’Information

Dans le monde en constante évolution de la technologie de l’information, les Directeurs des Systèmes d’Information (DSI) se retrouvent confrontés à un défi de taille : comment équilibrer la transformation digitale des métiers, la modernisation de l’infrastructure IT et la nécessité de maintenir la continuité des opérations, le tout dans un contexte de contraintes budgétaires croissantes ? L’optimisation des coûts devient une priorité pour les DSI, mais elle ne doit pas entraver l’innovation et la création de valeur.

L’automatisation émerge comme une réponse vitale à cette équation complexe. En automatisant les tâches répétitives et chronophages, les DSI peuvent libérer des ressources précieuses pour se concentrer sur des initiatives à forte valeur ajoutée. L’automatisation permet également d’améliorer la qualité et la fiabilité des services IT, réduisant ainsi les coûts liés aux erreurs humaines.

Un autre enjeu majeur réside dans la prolongation de la durée de vie des actifs IT. Dans un environnement où la technologie évolue rapidement, il est essentiel de maximiser le retour sur investissement des infrastructures et des équipements. La gestion efficace de l’obsolescence et la mise en place de pratiques de maintenance préventive sont des stratégies clés pour atteindre cet objectif.

Piloter les coûts par la valeur est une approche stratégique qui nécessite une gestion fine des investissements IT. Plutôt que de réduire les coûts de manière indiscriminée, les DSI doivent évaluer chaque dépense en fonction de sa contribution potentielle à la création de valeur pour l’entreprise. Cela peut impliquer des choix difficiles, mais cela garantit que les investissements sont alignés sur les objectifs stratégiques.

EY a récemment publié son classement des fournisseurs de logiciels pour 2022

cloud

EY vient de publier le classement des éditeurs de logiciels dans le monde pour 2022, prévoyant que ce secteur va continuer à croître et même s’accélérer dans les prochaines années. Selon cette enquête, les services de cloud seront un segment de marché de plus en plus important chez les éditeurs de logiciels.

Selon un nouveau rapport, les revenus des éditeurs de logiciels français atteignent 19,4 milliards d’euros en 2021, soit une hausse de 6,6 % par rapport au total de 18,3 milliards d’euros de l’année précédente. S’il s’agit d’une performance solide, elle est inférieure au taux de croissance global de 10 % sur la même période, qui s’explique par un net ralentissement en 2020 (-1,5 % contre +3,6 % en 2019) directement lié aux incertitudes politiques, notamment aux prochaines élections.

Les éditeurs de logiciels français ont enregistré une forte croissance au cours du dernier trimestre, malgré un contexte encore impacté par le Covid-19 qui a eu un impact direct sur l’économie française et notamment au quatrième trimestre où les indicateurs économiques ont fortement chuté.

La performance des éditeurs de logiciels français s’explique en grande partie par l’énorme succès de certains grands groupes tels que Sopra Steria Group, Capgemini Group, Dassault Systèmes, Atos, Steria Group ou Thales Group.

Mohamed Rahmoune prend le contrôle de la DSI groupe de B&B Hotels

transformation numérique visuel

Créé en 1990 à Brest, le groupe B&B Hotels regroupe actuellement plus de 600 hôtels répartis dans 14 pays, principalement situés en Europe, mais également au Brésil. En forte expansion, la chaîne hôtelière française vient de se développer au Royaume-Uni. Pour favoriser sa croissance, Mohamed Rahmoune est désigné DSI groupe depuis septembre 2022.

Tout au long de sa carrière, Mohamed Rahmoune a aidé la transformation numérique de plusieurs entreprises, en mettant en avant l’expérience client et l’e-commerce. Il était auparavant CTO e-commerce du groupe La Poste. Pendant 2 ans, il a aussi été DSI groupe de Fitness Park et a lancé un programme pour obtenir un système modernisé de gestion des clubs. Il a également participé à la transformation numérique des Galeries Lafayette pendant 4 ans (il a été le CTO e-commerce de l’entreprise pendant près d’un an et demi). Au début de sa carrière professionnelle, Mohamed a passé 12 ans chez IBM, où il a commencé en tant qu’ingénieur de système jusqu’à devenir architecte principal.

Mohamed Rahmoune a obtenu son diplôme d’ingénieur à l’Université des Sciences et de la Technologie Houari-Boumédiène (USTHB). Il possède également un master en économie et gestion délivré par l’Université de Paris 1 Panthéon Sorbonne. Mohamed détient aussi un MBA de l’IAE de Paris, Sorbonne Business School.

image cloud informatiqueNice : Inauguration de la nouvelle agence XEFI

Le jeudi 31 mars 2022, XEFI ouvre sa nouvelle agence à Nice. A présent, c’est la troisième agence du réseau implantée sur la Côte d’Azur, après Monaco et Sophia Antipolis. Un bel avenir s’offre à XEFI NICE.
Cette nouvelle agence est aménagée dans de grands espaces pour assurer la convivialité. Elle est résolument orientée vers les clients. Il a fallu un peu plus de 400 000 € d’investissements pour ces infrastructures.

A l’occasion de cette inauguration, Jeremy et Anton, dirigeants de XEFI NICE, ont invité leurs partenaires et leurs clients à visiter les nouveaux locaux. Les invités ont pu rencontrer une partie de la direction de XEFI et contribuer à la nouvelle page de l’aventure de XEFI.

Le groupe XEFI compte actuellement plus de 145 agences implantées en France et à l’étranger. Ouvrir ses portes à Nice représente une opportunité pour être le guichet unique de proximité. XEFI NICE propose des solutions clé en main à ses clients, à un bon rapport qualité/prix.

Ses solutions comprennent la maintenance et l’infogérance, Internet et la sécurité, les solutions d’impression, l’hébergement et la sauvegarde, la vente de matériels et les solutions software.

Le groupe XEFI possède aussi une filiale Datacenters NEXEREN, constituée de 5 datacenters hautement certifiés.

image nuages avec icone CloudL’évènement I/O 2022 de Google a été marqué par diverses annonces. Workspace, Android 13, le prototype de lunettes connectées, la mise à jour de la plateforme de développement Firebase sont entre autres les grands sujets qui ont été à l’ordre du jour. Abordant la question du cloud, le géant américain a dévoilé une extension du servie cloud baptisée « Cloud Run jobs ».

Cette extension est utile pour le développement et le déploiement d’applications conteneurisées qui utilisent des langages comme : Go, Java et Python. Selon Jeanine Banks une des responsables de Google, les tâches Cloud Run jobs permettent de réduire considérablement, le temps passé par les développeurs pour effectuer les diverses tâches administratives parmi lesquelles on peut citer : la gestion des travaux planifiés tels que l’envoi de factures hebdomadaires ou mensuelles, la migration des bases de données, la transformation de données par lots…
Dans un contexte où la demande de serverless est en pleine croissance, Cloud Run jobs vient se positionner devant des challengers tels que : AWS et Azure. Ladite plateforme exploite l’auto- scaling ce qui fait que l’utilisateur ne paye que l’usage. Dès qu’il n’y a pas de trafic, l’extension passe automatiquement à 0.

L’extension a été rendue disponible en avant-première dans la région Europe-West9 depuis le 16 Mai 2022. On reconnait à cette application, sa rapidité de démarrage et sa rapidité dans l’exécution des tâches qui peuvent être planifiées pour une exécution automatique ou mises à jour, pour une exécution manuelle.

Dans un contexte où l’amélioration de l’expérience client est l’une des grandes préoccupations des chefs d’entreprises, Oracle donne la possibilité d’intégrer dans son offre Service les informations de sa plateforme de données client Unity. A travers ces deux solutions qui font partie du portefeuille Fusion Cloud Customer Experience (CX), les entreprises arrivent à mieux automatiser les processus, fournir les réponses personnalisées et surtout prédire les besoins de service. A travers cette intégration, Oracle permet aux opérateurs du service client, d’avoir une vue plus complète des clients. L’efficacité des agents est également améliorée sans oublier la qualité du service.

image nuage découpé de papier

Selon les analystes du marché, la gestion de l’expérience client a désormais changé la pratique et l’objectif du marketing. Il est désormais important d’interconnecter chaque système, chaque interaction avec le client, chaque cas d’utilisation et chaque équipe en contact avec le client.

Selon un rapport de Forrester, l’amélioration des applications de gestion de la clientèle permet une meilleure visibilité du parcours client et une anticipation des besoins. La solution d’Oracle vient donc donner un coup de pouce aux sections marketing des entreprises qui pourront faire les recommandations les plus pertinentes afin d’inciter à d’autres achats.

formation en ligneLa GEN (Grande école du numérique) a mis en place un moteur de recherche qui permet aux personnes qui désirent faire carrière dans le numérique de trouver la formation qui leur convient peu importe leur situation professionnelle et leur niveau d’étude. Ce moteur de recherche réalisé en quatre mois a été conçu grâce à l’exploitation des bases de données de Mon Compte Formation (CPF), du réseau Carif-Oref et de l’Onisep. Trois Edtech ont été exploités afin d’aboutir à la mise en place du moteur de recherche de la GEN. Tout d’abord, une homogénéisation des données a été faite avant un traitement de données. La solution d’Appsearch a servi à concevoir des recherches assez complexes indexées par mot clé et par métier du numérique. Les apprenants ont la possibilité de faire des recherches par famille de métier (sécurité, interface graphisme/design, réseau et cloud, data/IA/IoT… ) . Ils ont également la possibilité de renseigner la localisation et le périmètre, préciser le niveau d’étude actuel et cocher le « 100% en ligne ».

L’outil mis à disposition est simple d’utilisation et responsive design. Il s’adapte donc à la taille des écrans de tout périphérique (ordinateur, téléphone, tablette …). Dès la fin de 2022, cet outil pourra proposer des métiers plus proches des compétences des apprenants à travers un matching encore plus élaboré.

En termes de perspective, la GEN a annoncé nourrir le désir de créer un observatoire qui contribuera à l’évolution des offres de formation aux métiers du digital. Un appel à projet est également en vue afin de sélectionner et subventionner les projets innovants en termes de pédagogie, de recrutement, d’accompagnement et aussi d’insertion professionnelle du public cible de la GEN.

Lelogo Cloudflare marché des bases de données dans le cloud, ne cesse de susciter des intérêts. Cloudflare a annoncé la sortie de sa base de données dénommée D1. Cette application serverless repose sur une autre plateforme d’application serverless dénommée Workers et sur le service de stockage objet R2. Comparativement aux bases de données d’autres concurrents tels que GCP, Oracle, AWS, Microsoft Azure, D1 résidera dans environ 250 sites mondiaux ce qui veut dire que les emplacements des bases de données seront plus proches des utilisateurs.

Le CDN de Cloudflare permettra aux développeurs de réduire les frais de transfert de données mais aussi le temps de latence. A en croire les responsables de Cloudflare, les avantages de D1 sont nombreux. Etant donné que la base de données prend en charge SQLite, les développeurs pourront l’adopter avec la plus grande aisance. Plus encore, Cloudflare a annoncé ne pas facturer de frais supplémentaire pour le transfert de données. En clair, les développeurs pourront déplacer les données ente différents services sans se faire du souci.

La mise en place de D1, répond à l’ambition de Cloudflare d’être présent non seulement dans le domaine de la sécurité et du réseau mais aussi et surtout de tirer parti de son réseau à travers la création d’applications d’entreprises modernes.

logo Infor CloudSuiteBontaz est un groupe international disposant de 24 usines situées dans les quatre coins du monde notamment en France, aux Etats-Unis, en Chine, au Brésil… Créé en 1965, cette entreprise travaille avec 4000 collaborateurs. Équipementier automobile, Bontaz est spécialisé dans les fonctions hydrauliques. En moyenne, cette entreprise produit 14 millions d’électrovannes pour les constructeurs et 180 millions de gicleurs de refroidissement de piston.

Disposant d’un ERP maison, Bontaz a nourrit le vœu de faire évoluer le cœur de son système d’information et accroitre ses performances en disposant d’outil moderne adapté à son secteur d’activité. Après un appel d’offre lancé en Octobre 2020, le choix définitif a été fait en Mai 2021. Infor Cloud Suite Automotive a été la solution choisie. Cette solution hébergée dans le cloud AWS est une proposition d’Infor. En plus d’être un outil adapté aux besoins de Bontaz, cette solution avait un coût relativement attractif. Disposant de nombreuses fonctionnalités qui permettent une rapidité dans l’accomplissement des tâches, la solution sera déployée au niveau mondial jusqu’en 2024. Selon certaines sources, ce nouvel outil pourrait permettre à l’entreprise d’étendre ses domaines d’intervention en s’investissant par exemple dans l’aéronautique

 

D-wave logoD-Wave vient encore de poser un pas de géant dans le domaine de l’informatique quantique à travers l’annonce de la livraison de son 3ème système Advantage. La machine est hébergée à Marina Del Rey, en Californie plus précisément à l’Institut des sciences de l’information de l’Université de Californie du Sud. Un des deux autres équipements est hébergé en Allemagne précisément au centre de supercalculateurs Forschungszentrum Jülich et un autre au siège de D-Wave au Canada, à Burnaby en Colombien Britannique.

Afin de lancer son 3ème système quantique, D-Wave mise à la fois sur le service Braket d’AWS et sur son Cloud Leap. D-Wave se dit prêt à mettre ses systèmes à la disposition des entreprises qui proposent des services à travers le cloud. Pour faciliter l’adaptation des développeurs et des analystes, D-Wave entend mettre à leur disposition, des outils de codage ainsi que des modèles.

L’Advantage de D-Wave qui doté de plus de 5.000 qubits, aura en face de lui une machine d’IBM dotée de 4000 qubits. IBM a annoncé récemment que sa machine sera disponible en 2025. Même si on pourrait penser qu’une machine de 5000 qubits sera plus rapide que celle du 4000 qubits, il est important de tenir compte de la technologie utilisée. En effet, D-Wave exploite du quantique recuit alors que ses challengers tels que IBM, Quantinuum, IonQ… évoluent sur une approche qui se base sur les portes quantiques, nouveau champs d’exploration de D-Wave à en croire une annonce faite en Octobre.

Google logo Google a organisé du 11 au 12 Mai 2022, son évènement annuel dénommé I/O. Au cours de cette édition, le propriétaire du moteur de recherche le plus utilisé au monde a tenu à présenter les nombreuses fonctionnalités de sa suite bureautique et collaborative. Certaines sont déjà incluses et d’autres en cours.

Parmi les fonctionnalités dont pourront bénéficier les utilisateurs, il y a celle du résumé textuels qui est désormais généré automatiquement au cours d’un chat. Google a transformé les résumés en « Spaces » Workplace, qui est une sorte de salons de discussion qui permettent aux employés d’échanger et de partager différents fichiers autour d’un projet déterminé.

Les appels Meet pourront également être transcrits automatiquement, ce qui permettra aux membres des équipes de pouvoir rattraper facilement les réunions manquées. Il faudra attendre 2023, afin de voir les fonctionnalités de résumé dans Docs et Spaces s’appliquer aux textes transcrits.

Des fonctionnalités dénommées « Portrait Light » et « Portrait Restore » se basent sur l’IA de Google afin d’améliorer l’image des utilisateurs. Ces fonctionnalités seront utiles en cas de mauvaise condition d’éclairage ou de mauvaise connexion. La fonction « Portrait Restore » sera disponible au cours de cette année (2022) pour ceux disposant d’un abonnement Entreprise Plus ou Business Plus, alors que la fonction « Portrait Light » sera disponible dans les mois à venir pour ceux qui disposent d’une formule Enterprise Plus, Business Plus ou encore Business Standard. Il y a également la fonctionnalité de « déréverbération » qui va consister à supprimer automatiquement l’écho qu’il y a dans certaines pièces lors des discussions.

CloudOps logoAu vu des derniers rachats stratégiques opérés par NetApp, on est bien tenté de dire que le grand prestataire du service cloud se lance à fond dans le CloudOPs.

En s’investissant tant dans la fourniture de solutions orientées vers les clouds tels que : Azure, AWS et GCP, tout comme dans le stockage traditionnel sur site, NetApp a réussi à développer une grande expertise dans le domaine du Cloud Operations (CloudOPs). Afin de s’imposer sur ce marché, le prestataire de San José a dû faire de nombreuses acquisitions avec entre autres : Fylamynt, Data, CloudCheckr, Mechanics, Spot et Instraclustr. Ainsi, de nombreux « produits » ont été lancés. Parmi ceux-ci, on peut citer : Cloud Volumes Ontap, Cloud Data Send, Azure NetApp Files, Cloud Volumes Service et Cloud Insights. L’objectif visé par NetApp est d’accompagner les entreprises contraintes à faire face à la complexité des solutions multiclouds.

Les outils CloudOps de NetApp serviront donc à automatiser les opérations liées au cloud qui se complexifient également en raison du manque de personnel qualifié.

NetApp n’est pas le seul à manifester un intérêt pour le CloudOps. Il devra faire face à la concurrence puisque d’autres géants tels que Dell Technologie développent même si c’est avec un léger retard diverses solutions de stockage (fichiers, blocs et objets) sur les trois grands clouds du marché. Pure Storage a de son côté, renforcé ses ressources CloudOPs à travers son offre Fusion, qui voit le jour avec des capacités de surveillance automatisée.

logo IBMIBM le géant de l’informatique en entamé au cours de ce mois de Mai, une série de conférences « Think 2022 » qui seront axées sur 5 thématiques à savoir : l’automatisation avec l’IA, les données, la cybersécurité, le conseil et la modernisation des SI avec le cloud hybride. Cette série de conférences qui se déroulera dans 11 grandes villes dont Paris, sera animée par des experts et suivie de nombreux ateliers et master class.

Mais avant l’étape de Paris, IBM a, au cours du « Think Boston » présenté la feuille de route actualisée de sa R&D axée au tour de l’informatique quantique. A en croire, les responsable d’IBM, d’ici 2023, il sera conçu, un processeur quantique universel à 1000 qubits avec une intégration d’une approche serverless à sa pile logicielle quantique. Ceci ne sera que le début d’une nouvelle ère puisque deux ans plus tard, il sera mis sur pied un processeur doté d’une puissance de calcul de plus de 4158 qubits avec pour nom de code : Kookaburra.

Sur le plan de la cybersécurité, IBM a annoncé que les travaux sont en cours afin de contribuer à la protection des données. Ainsi, le fournisseur annonce qu’il proposera aux équipes de cybersécurité et aux dirigeants des entreprises, des formations axées sur le chiffrement à sécurité quantique. Il pourra également évaluer le taux d’exposition des entreprises aux cyberattaques.

Salesforce

Troops.ai est une plateforme d’autonomisation très utile pour communiquer sur les revenus mais aussi sur les ventes. Elle a été acquise par Salesforce un puissant éditeur américain. Il faudra tout de même, attendre le second trimestre pour constater l’inclusion de Troops.ai dans Slack. Selon les informations recueillies, Troop.ai s’appuie sur Microsoft Teams et les bots Slack dans le but de faire remonter les données CRM de plusieurs autres plateformes telles que : Salesforce, Hubspot et Zendesk.

Pour rappel, Troops a vu le jour à new York en 2016 grâce à la coopération de Greg Ratner, Dan Reich et Scott Britton. Saleforce n’a pas choisi communiquer sur les termes de l’opération. Toutefois, il a été constaté que Troops.ai a levé à ce jour, 19,4 M$. Cet achat faut-il le rappeler est intervenu environ 2 mois après que Bret Taylor ait annoncé aux analystes que la compagnie n’entendait pas à court terme faire une acquisition importante, encore moins, une fusion.
Depuis l’acquisition en 2020 de Slack, l’éditeur Salesforce n’a cessé de voir croitre la côte de popularité de sa plateforme de messagerie. A en croire les derniers résultats rendus publics, l’éditeur a eu à faire un chiffre d’affaires de près de 7,3 milliards de dollars, ce qui représente une augmentation de 26% si l’on le compare à l’année qui s’est achevée. En termes de projection, Salesforce a annoncé attendre pour l’année 2023, une contribution de près de 1,5 milliards de dollars en vente de la part de Slack.

cloud

Markess by Exaegis après une étude menée au cours de l’année 2021 a noté une progression de 35% sur le marché français des services d’infrastructure délivrée à travers le cloud public. En termes de fiance, cette augmentation a entrainé une hausse de 500 M€ au niveau des revenus. Les 3 géants notamment Amazon Web Services (AWS), Microsoft Azure et Google cloud sont ceux qui bénéficient d’environ 80% de cette augmentation. A en croire certaines statistiques, 71% environ du marché français dans le domaine de l’IaaS est entre les mains d’AWS, Microsoft et Google Cloud. Les autres concurrents comme IBM, OVH, Oracle, Scaleway fournissant également les mêmes services, ne peuvent se contenter que de moins de 30%.

Parmi les trois (AWS, Microsoft et Google Cloud), qui dominent le marché français, AWS est le leader mondial. En effet, selon toujours Markess by Exaegis, le marché du PaaS et de l’IaaS courant 2021, a été couvert à environ 46% par AWS. Microsoft Azure ne jouit que des 22% du marché mondial pendant que Google Cloud se contente de 8% que ce soit en France ou au plan mondial.

Les « délaissés » tels que OVH, Scaleway … devront quant à eux, compter sur des segments beaucoup plus spécifiques comme : la cyber sécurité, le cloud souverain, les plateformes applicatives, la gestion de cloud hybride et multicloud.

sécuritéAprès plus de deux ans de présentation de rapports à distance en raison de la COVID-19, Marie-Laure Denis actuelle présente de la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a présenté le rapport de son institution sur les différents faits recensés au cours de l’année 2021. Pour la responsable, l’année 2021 n’a pas été très calme. Afin de prouver la véracité de ses propos, elle n’a pas hésité à exposer au grand public les chiffres marquants de l’année qui s’est achevée. En effet, en 2021, on a dénombré environ 14.143 plaintes enregistrées pour 384 contrôles effectués. En tout, 135 mises en demeure ont été faites avec à la clé plus de 214 millions de dollars payés pour les sanctions. Xavier Delporte autre responsable de la CNIL trouve que ces forts taux sont les retombées de « l’effet RGPD ». Parmi les sujets de réclamation, on retrouve : la prospection via les mails ou les mobiles, l’effacement des données sur Internet sans oublier la surveillance des salariés notamment, à travers les vidéos.

Côté cybercriminalité, la CNIL dit avoir reçu un peu plus de 3000 notifications l’année dernière. Ce chiffre correspond à une hausse de 128% comparativement à 2021. Après analyse, 43% des cyberattaques sont causées par des rançongiciels. La commission a également précisé que le secteur de la santé faisait partie des secteurs les plus touchés.

A titre de perspective, pour l’année 2022, la CNIL a promis accompagner les différents sites internet et surtout ceux intervenant dans la vente en ligne sur la mise en conformité pour l’utilisation des services de Google Analytic mais aussi, sur la mise en place de solutions alternatives.

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